Un allié de la première heure, Philippe Robichon, nous envoie ces paroles, ou plutôt, un cri du coeur !
Salut à tous ! Je continue à m’occuper de défense de l’environnement. Mais je pense désormais qu’il est trop tard. Nous aurions dû freiner il y a 30 ans et surtout désigner les coupables plus clairement : rien n’a arrêté le libéralisme "ultra" dans sa soif de fric, dans sa voracité à détruire les richesses du globe, à piller les pays pauvres.
A 82 ans, je deviens violent : je rêve de révolution ! Là aussi, trop tard : les citoyens sont devenus des consommateurs ; les chômeurs n’ont pas le culot de réclamer, eux aussi, des "dividendes" de la richesse produite sans eux…
Photo sous licence Creative Commons de Nammour le tigre
URL : www.alliance21.org/2003/article3402.html
DATE DE PUBLICATION :11 août 2009