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  Gouvernance et citoyenneté mondiales
Paris
septembre 1998  
  John Roberts

Traduction automatique révisée au niveau 2

John Roberts, un Allié du Royaume-Uni, nous informe que Troy Davis, Directeur Exécutif de la Fondation du Citoyen Mondiale, localisé principalement dans le Vermont (États-Unis), a convoqué une rencontre à Paris le mois dernier. Des citoyens mondiaux et fédéralistes d'une demi-douzaine pays se sont assemblés pendant quatre jours pour discuter de la coopération et du besoin d'action pour propager les idées des organisations que chacun représente.

La rencontre était amicale et constructive, et s'est bien passée. Il y eut accord que le temps présent, avec l'imminence de la rencontre de l'Appel la Haye pour la Commémoration de la Paix en mai prochain et, l'année qui suit, les célébrations du millénaire, était particulièrement propice. Si les partisans de la foi Baha'ie croient qu'un gouvernement mondial existera pour l'an 2000, peut-être ils connaissent quelque chose qui nous est caché aux autres.

Les contacts précieux de la rencontre d'octobre ont signifié que tous les participants pourraient rester en contact après, surtout à travers l'Internet, avec l'intention d'augmenter l'effet des contributions différentes. Après cinquante années de coopération de plus en plus proche entre les citoyens du monde et en dépit des coûts de communication et de transport, nous avons maintenant l'occasion de réaliser une coopération plus régulière, plus fructueuse, plus immédiate et plus efficace. La technologie vient à notre secours, non pas pour créer un monde plus impersonnel, mais au contraire pour permettre au contact personnel parmi les membres du mouvement de devenir beaucoup plus fréquent et plus large.

Un point noté par Troy Davis ainsi que d'autres: il est souvent affirmé que les citoyens mondiaux et fédéralistes du monde sont apolitiques. Rien ne pourrait être plus loin de la vérité. Notre souci, avant tout, est d'améliorer l'administration du monde, c.-à-d. de créer un gouvernement pour la planète. C'est totalement politique. Ce qui est vrai est que les deux mouvements sont politiques mais non partisans.

Comme la rencontre de Paris était informelle, on ne pouvait pas s'engager dans un mouvement d'action commune: ce qu'elle a permis est d'assurer que toute action future pourrait être plus réussie en jetant les bases pour un plus grand savoir et un contact plus rapide. Dans l'année prochaine nous devrions avoir largement l'occasion pour voir la preuve que c'est possible.