John Roberts Traduction
automatique révisée au niveau 2
John Roberts, un
Allié du Royaume-Uni, nous informe que Troy
Davis, Directeur Exécutif de la Fondation du
Citoyen Mondiale, localisé principalement dans
le Vermont (États-Unis), a convoqué une
rencontre à Paris le mois dernier. Des citoyens
mondiaux et fédéralistes d'une demi-douzaine
pays se sont assemblés pendant quatre jours pour
discuter de la coopération et du besoin d'action
pour propager les idées des organisations que
chacun représente.
La rencontre
était amicale et constructive, et s'est bien
passée. Il y eut accord que le temps présent,
avec l'imminence de la rencontre de l'Appel la
Haye pour la Commémoration de la Paix en mai
prochain et, l'année qui suit, les
célébrations du millénaire, était
particulièrement propice. Si les partisans de la
foi Baha'ie croient qu'un gouvernement mondial
existera pour l'an 2000, peut-être ils
connaissent quelque chose qui nous est caché aux
autres.
Les contacts
précieux de la rencontre d'octobre ont signifié
que tous les participants pourraient rester en
contact après, surtout à travers l'Internet,
avec l'intention d'augmenter l'effet des
contributions différentes. Après cinquante
années de coopération de plus en plus proche
entre les citoyens du monde et en dépit des
coûts de communication et de transport, nous
avons maintenant l'occasion de réaliser une
coopération plus régulière, plus fructueuse,
plus immédiate et plus efficace. La technologie
vient à notre secours, non pas pour créer un
monde plus impersonnel, mais au contraire pour
permettre au contact personnel parmi les membres
du mouvement de devenir beaucoup plus fréquent
et plus large.
Un point noté par
Troy Davis ainsi que d'autres: il est souvent
affirmé que les citoyens mondiaux et
fédéralistes du monde sont apolitiques. Rien ne
pourrait être plus loin de la vérité. Notre
souci, avant tout, est d'améliorer
l'administration du monde, c.-à-d. de créer un
gouvernement pour la planète. C'est totalement
politique. Ce qui est vrai est que les deux
mouvements sont politiques mais non partisans.
Comme la rencontre
de Paris était informelle, on ne pouvait pas
s'engager dans un mouvement d'action commune: ce
qu'elle a permis est d'assurer que toute action
future pourrait être plus réussie en jetant les
bases pour un plus grand savoir et un contact
plus rapide. Dans l'année prochaine nous
devrions avoir largement l'occasion pour voir la
preuve que c'est possible.
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