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... sur vos intentions de participation
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28 juin 2005 | fr |
Oui.
Intéressé à faire partie de :
le groupe de garants (*)
le groupe de suivi et de perfectionnement des outils et méthodes d’échange d’expériences
le comité d’utilisateurs du site web de l’Alliance.
(*) Le Groupe de garants devrait s’élargir, pour gagner un peu plus en dynamisme sans pour autant perdre en cohésion. Je propose (d) élargir le groupe à 14 membres, dont :
3 Asie du Sud, 3 Asie de l’Est
2 Afrique, 2 Amériques, 2 Europe + Russie
1 Moyen Orient + Asie Centrale, 1 Asie du Sud-est + Océanie.
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... sur la Charte constitutive
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28 juin 2005 | fr |
Les sections de la charte (objectifs, éthique, dispositifs, calendrier) me semblent bien dans son ensemble. Néanmoins, ce n’est pas clair si les dispositifs et le calendrier font partie de la charte en soi même ou sont des éléments à part. Est-ce que (a) la section « objectifs » contient vraiment des objectifs ? L’ensemble de cette section, qui comprend « un constat », « un refus », « une conviction », et « un principe », peut être rebaptisée par exemple en « constats et engagements ». Les objectifs on peut les trouver ailleurs, par exemple dans l’Agenda pour le 21 siècle. Enfin, une nouvelle section, ainsi qu’un nouveau groupe de travail, à propos du financement, me semblent nécessaires, comme Oriol Alsina a souligné aussi.
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... sur les dispositifs de travail
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28 juin 2005 | fr |
Ils sont bons. Néanmoins (b) il faut réfléchir auparavant aux objectifs de ces dispositifs. Est-ce que les objectifs des dispositifs doivent correspondre à l’ensemble des « objectifs » de l’Alliance ? Par exemple, est-ce que le développement de mécanismes de prise de décisions qui mène à l’action concrète sur le terrain, doit être considéré un objectif de l’Alliance ? si c’est le cas, on peut envisager d’ajouter à la liste des dispositifs ou méthodologies spécifiques à un tel objectif.
Les documents portant le label de l’Alliance : si la Charte établit les « règles de jeu » de l’Alliance, les documents communs établissent, parmi autres, les valeurs et les objectifs. L’héritage de la Fph est fondamental dans l’alliance, c’est pour ça que les documents proposés me semblent tout à fait appropriés. J’ajouterai également : l’ensemble des résultats du forum d’évaluation de l’Alliance et la mémoire provisoire du forum d’évaluation transversale des cahiers de propositions.
On peut penser à des (c) critères pour déterminer quels doivent être les documents, actuels et futurs, portant le label de l’Alliance. Je vous en propose deux : l’un est la qualité et l’autre c’est le degré d’implication collective. Il faut un équilibre entre ces critères, car les deux sont des éléments fondamentaux à l’identité et la cohésion d’un groupe.
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... Autres réponses
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28 juin 2005 | fr |
Mes commentaires concernent la procédure d’approbation de la Charte, ses contenus, le financement, et la gouvernance de l’alliance. (A la fin vous trouverez aussi la liste des propositions que j’ai développées au long de ma réponse)
1. Sur la procédure de consultation
Proposition : (e) une liste électronique de discussion sur la Charte constitutive. Dont les caractéristiques sont :
En parallèle à l’utilisation de la Charte, une fois en vigueur après l’avoir approuvé, les participants de cette liste vont la réviser point par point, pendant un période à déterminer, en fonction des ambiguïtés actuelles et des futures expériences et conflits d’interprétation.
2 possibilités sont envisagées. La première, une liste sans soutien financier, d’intensité baisse ou moyenne, animée par un ou plusieurs volontaires pendant une période qui serait large (par exemple, 2-3 ans) précisément à cause d’une disponibilité d’animation limitée. La deuxième, une liste avec soutien financier de la Fph, d’intensité plus haute et une période plus courte (par exemple, 6 mois - 1 an).
A la fin de ce période, la version définitive de la charte est proposée à nouveau en consultation aux alliés. Si elle est acceptée, le groupe de garants le sera dorénavant de ce texte modifié.
Ce groupe doit interagir en permanence avec le Groupe de garants
Une autre possibilité : cette tâche peut être attribuée directement au Groupe de garants, à condition qu’il soit élargi et que ses discussions autour de la révision de la Charte soient publiques.
Une fois la version définitive soit en vigueur, on peut plus tard se donner les moyens pour la faire évoluer si besoin est.
2. Le contenu de la Charte
Il est impossible ici de voir en détail tous les paragraphes, pour sortir des ambiguïtés qui sont inévitables pour un nouveau texte d’une telle nature qui n’est pas encore confronté à l’expérience. (C’est pourquoi une liste de discussion pour la révision de la charte est nécessaire). Néanmoins, je veux remarquer un aspect :
La définition qui est donnée d’une « Alliance citoyenne », dans l’introduction (page 1, 3eme paragraphe), (f) ne doit pas porter seulement sur le caractère « international » de ces processus collectifs. Cette forme d’organisation sociale peut se reproduire à l’échelle locale. Mieux que ça, une telle dynamique devrait être encouragée. Cela dit, en tant qu’alliance, elle doit chercher la diversité dans le milieu et l’endroit géographique qui lui concerne.
3. Le financement de l’Alliance
Sans autres sources de financement, si l’Alliance continue à dépendre de l’appui de la Fph qui est sélectif, tout effort de gouvernance autonome, pour atteindre un ensemble d’intérêts plus large, échouera.
Les groupes de travail dans lesquels nous sommes invités à y travailler, correspondent en fait aux intérêts sélectifs de la Fph. Or, au-delà de ces aspects, les alliés nous devons réfléchir aussi à comment organiser la reste de domaines qu’intéressent l’Alliance, mais pas nécessairement la Fondation : il faut les répertorier, établir des priorités, leur chercher du financement, imaginer le fonctionnement de l’ensemble (voir 4. gouvernance)
Cela permettrait que l’Alliance gagne en autonomie, le meilleur moyen aussi pour qu’elle gagne aussi en légitimité. Pour la Fph, avoir comme partenaire une Alliance qui soit vraiment autonome, c’est aussi la meilleur façon, à mon avis, de s’assurer que ses efforts d’investissement, même si sélectifs, ont valu la peine et continuent à valoir la peine.Je crois qu’il faut :
(g) Un groupe de travail sur le financement (je reprends la proposition d’Oriol).
(h) Une section sur le financement dans la Charte constitutive, autour d’un principe de diversité financière qu’il faudra définir.
Etant donnée l’absence de fondations intéressées au projet global de l’Alliance, il faut chercher (i) d’autres formes de financement, au-delà des fondations, par exemple des alliances internationales de petits bailleurs de fonds, des « taxes alliées » de solidarité entre différents projets, etc.
Personnellement, je crois que la Fph devrait s’impliquer davantage dans un appui à cet effort, même si cet soutien à la recherche de financement ailleurs n’est pas évoqué comme sujet d’intérêt, dans le texte qui présente sa position.
4. La gouvernance de l’Alliance
Certain thèmes et certains domaines (j’entends par domaines des méthodologies, stratégies, approches, regards, types de réflexion et d’action) qui intéressent les alliés ou une partie des alliés, ne sont pas soutenus par la Fph. (j) On peut envisager des rencontres régulières, et une liste de discussion, pour les organiser et les développer.
Il s’agirait d’une liste de discussion électronique permanente, d’intensité réduite ou moyenne.
Avec une animation volontaire, sans financement (au moins dans un premier temps)
Des rencontres périodiques : décentralisées, aussi sans financement au préalable, qui auraient lieu lors d’autres événements internationaux tels que les Forums sociaux. Dans ces rencontres les personnes des régions concernées, qui ont difficulté à participer à distance, auront priorité de parole
L’agenda commun à la liste et aux rencontres, peut porter sur a) répertorier les domaines d’intérêt, b) établir des ponts et si possible des priorités, c) chercher du financement, d) participer aux groupes de stratégie biannuelle et à long terme
La Charte constitutive reste bien évidemment le cadre de référentiel pour travailler dans ces thèmes et domaines. Les éventuels problèmes de conformité ou d’interprétation du texte de la Charte, seront communiqués au Groupe de garants. Eventuellement les participants de la liste de révision de la Charte seront aussi informés, car cela va leur permettre de mieux préparer la version définitive en fonction des problèmes trouvés par ces autres alliés (ainsi que par les alliés en général)
(k) Critère de composition des groupes. La présence d’une personne de la Fph parmi le Groupe de garants garantit que le riche héritage de la Fondation soit mis en valeur, ce qui est une bonne chose. En même temps, une ou plusieurs personnes dans ce groupe et dans les autres devraient être des personnes sans aucun lien financier avec la Fph. Cela aiderait aussi à avancer vers une autonomie croissante de l’Alliance
(l) Critère de transparence des groupes. Les groupes et les chantiers de l’Alliance, doivent s’efforcer à rendre publiques ses travaux et ses délibérations, dans la mesure de leurs possibilités. Dans le site web une rubrique peut être ouverte pour rapporter les progrès des groupes avec des documents et les archives des discussions. A la différence d’autres organisations de la même taille, ce ne sont pas les vices d’une institutionnalisation, qui elle est absente, qui ont provoqué jusqu’à présent la relative opacité dans l’Alliance, mais en général la manque de moyens et d’efforts pour communiquer.
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Liste des propositions antérieures (classés ici par instance à laquelle elles s’adressent)
D’abord les 6 propositions qui concernent le texte actuel de la Charte constitutive, et dont on peut tenir compte en tant que réponse à la cette proposition de la Fph.
(a) rebaptiser la section « objectifs » en quelque chose comme « constats et engagements » qui lui correspond mieux.
(d) élargir le Groupe de garants, à 14 membres, pour gagner en participation et dynamisme sans perdre en cohésion.
(e) lancer une liste électronique de discussion sur la Charte constitutive, qui prépare une version définitive du texte avec assez de temps, et en parallèle la mise en vigueur de la version actuelle.
(f) Définir les « Alliances citoyennes », comme des processus ne pas seulement internationaux, et pourtant, en quête de diversité dans son contexte ou échelle d’action.
(k) Composition des groupes : ajouter une ou plusieurs personnes dans chaque groupe sans aucun lien financier avec la Fph.
(l) Transparence des groupes : s’efforcer à rendre publiques les travaux et les délibérations, à travers (par exemple) le site web.
Ces propositions sont les seules qui en fait concernent cette consultation. A continuation, et seulement à titre indicatif, des propositions qui concernent l’éventuelle révision future de la Charte, à développer dans une possible liste de discussion (proposition « e »)
(b) réfléchir aux objectifs qui vont permettre mieux déterminer le choix des dispositifs
(c) établir des critères pour déterminer le choix des documents, actuels et futurs, portant le label de l’Alliance, ainsi qu’un principe d’équilibre entre eux.
(h) une section sur le financement dans la Charte constitutive, autour, par exemple, d’un principe de diversité financière, à définir.
Enfin, des propositions qui concernent les alliés et le développement de l’Alliance, en dehors de la discussion actuelle ou future sur la Charte constitutive, et qui sont mentionnées ici aussi seulement à titre indicatif :
(g) Un groupe de travail sur le financement
(i) Explorer d’autres formes de financement, au-delà des fondations
(j) Des rencontres régulières et une liste électronique pour organiser les domaines et thèmes d’intérêt de l’Alliance qui n’ont pas un soutien de la Fph.
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